Le contentement
Le contentement
Deux citations et un proverbe amérindien seront en quelque sorte notre fil conducteur du message d’aujourd’hui.
La première citation, je vous l’ai déjà donnée, c’est la réponse du Dalaï-Lama à la question : «Qu’est-ce qui vous surprend le plus dans l’humanité ?»
«Les hommes… Parce qu’ils perdent la santé pour accumuler de l’argent, ensuite ils perdent de l’argent pour retrouver la santé. Et à penser anxieusement au futur, ils en oublient le présent de telle sorte qu’ils finissent par ne vivre ni le présent ni le futur. Ils vivent comme s’ils n’allaient jamais mourir… Et meurent comme s’ils n’avaient jamais vécu.»
Ensuite «Le contentement apporte le bonheur dans la pauvreté alors que le mécontentement apporte la pauvreté même dans la richesse» Confucius.
Quant au proverbe Amérindien «Lorsque l’homme blanc aura tué le dernier animal, coupé le dernier arbre et empoisonné la dernière rivière, c’est seulement là qu’il réalisera que l’argent ne se mange pas.»
Savoir et avoir de la sagesse pour apprécier ce que l’on a car ce n’est que lorsque l’on perd quelqu’un ou quelque chose que l’on prend conscience de l’importance qu’ils avaient.
Nous vivons une époque extraordinaire dans l’inversion des valeurs, où le mal est appelé bien et le bien mal.
Une époque où le «mérite» a détrôné la solidarité, la «performance individuelle» annihilé l’esprit d’équipe, l’appât du gain et de l’argent facile ont réduit à néant les valeurs d’équité et le sens du travail bien fait.
Et, par-dessus tout, le nouvel ordre mondial s’insinue dans toutes les strates de la société, apportant son lot d’injustice, de rejet, de violence physique, morale, économique avec en filigrane une main mise toujours plus grande d’une poignée d’oligarques dont le but inavoué est la maîtrise d’un système mondial dont ils seraient ou seront les maîtres du jeu.
Cette avidité les amène à vouloir toujours plus, de n’être jamais rassasiés, et, pour s’assurer des revenus qui dépassent l’entendement – le salaire de Carlos GHOSN en 2016 chez Renault / Nissan a été de l’ordre de 15,8 millions d’euros, ce qui fait de lui l’un des dirigeants les mieux payés au monde dans le secteur automobile – ils n’hésitent plus à spolier, étrangler les plus modestes.
Mais le nouvel ordre mondial qui veut contrôler économiquement la planète veut aussi s’étendre au niveau religieux pour dominer et canaliser, dans l’optique d’une religion unique, tous les représentants des grandes religions mondiales.
Telle une pieuvre, ses tentacules s’immiscent dans tous les rouages de l’information pour nous influencer et nous emmener à ne plus penser par nous-mêmes mais par ce que dit ou montre tel ou tel journaliste.
Après l’asservissement physique – travail de plus en plus précaire et de moins en moins rémunérateur – est entré en ligne l’asservissement moral pour déshumaniser et effacer notre façon de penser et d’agir.
La finalité : l’eugénisme c’est-à-dire la tentative d’améliorer la race humaine par des manipulations génétiques. Hitler l’a pratiqué en éliminant dans un premier temps tous les malades mentaux, tous les infirmes ensuite pour finir par l’extermination des juifs, tziganes et autres slaves jugés comme une race inférieure.
Pour le nouvel ordre mondial, la population doit être ramenée autour du milliard d’êtres humains, soit l’élimination d’environ six milliards de personnes !
Excusez du peu !
Bien sur, seule une élite reconnue comme telle aura droit aux honneurs, le reste «sélectionné génétiquement pour obéir» sera à leur service.
Vous pensez que j’exagère, écoutez ce qu’ont dit :
Benoît XVI
«Apparaissait l’exigence d’élaborer un nouvel ordre mondial politique et économique, mais, dans le même temps et surtout, spirituel et culturel; c’est-à-dire un humanisme renouvelé. Cette constatation s’imposait avec une évidence croissante. Un nouvel ordre mondial économique et politique ne fonctionne pas s’il n’y a pas de renouveau spirituel, si nous ne pouvons pas nous approcher à nouveau de Dieu et trouver Dieu parmi nous».
Nicolas Sarkozy
«On ira ensembles vers ce nouvel ordre mondial et personne, je dis bien personne, ne pourra s’y opposer».
François Hollande
“Alors jamais la nécessité d’un nouvel ordre international n’apparu aussi nécessaire autour de trois principes que nous portons depuis des années. Les socialistes mais pas simplement les socialistes. Tous ceux qui ont une conception multilatérale de l’organisation du monde.”
Nikolas Schreck Ancien grand maître du Temple de Set, fondé par des membres de l’Église de Satan.
“C’est un nouvel ordre que nous voulons établir”. “Nous nous emparons des médias. Nous avons des scientifiques qui travaillent pour nous. Nous avons des membres dans chaque domaine. Des gens intelligents, compétents et ambitieux qui n’ont ni culpabilité, ni honte et qui vont complètement éliminer l’immondice de l’éthique judéo-chrétienne de notre mode de vie. Et quand cela arrivera, cela changera le monde.”
David Spangler, directeur de l’Initiative Planétaire, un projet des Nations Unies
“Personne n’entrera dans le Nouvel Ordre Mondial à moins qu’il ou elle ne fasse le serment de vénérer Satan. Personne ne fera partie du Nouvel Age sans recevoir une initiation Luciférienne.”
Robert Muller ancien assistant au secrétaire général de l’ONU
«Dès que possible, nous devons arriver à élaborer un gouvernement mondial et une religion mondiale dirigés par un leader mondial»
Frank Sesno, vice-président du réseau CNN News
“Nous disons aux gens ce qu’ils ont besoin de savoir, pas ce qu’ils veulent savoir.”
Richard Salant, ex-président de CBS News
“Notre travail est de donner aux gens non pas ce qu’ils veulent, mais ce que nous décidons qu’ils doivent avoir.”
David Rockefeller
“Nous sommes à la veille d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est la bonne crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial.”
George Brock Chisholm (1896-1971), ex-directeur de l’Organisation Mondiale de la Santé
“Pour mettre en place un gouvernement mondial, il est nécessaire de retirer des esprits leur individualisme, leur loyauté aux traditions familiales, leur patriotisme national, et leurs dogmes religieux.”
Le Président John Fitzgerald Kennedy (1917-1963), dans un discours fait à l’Université Columbia le 12 novembre 1963, dix jours seulement avant son assassinat déclarait :
“La direction du Bureau du Président a été utilisée pour fomenter un complot pour anéantir la liberté des Américains, et avant que je ne quitte le Bureau, je dois informer les citoyens de ces conditions.”
La commission d’enquête WARREN n’a – officiellement – jamais élucidé cet assassinat. Et si c’était précisément à cause de cela ?
Ce monde va à sa perte et Christ nous a prévenus dans
Matthieu 24 – 4 à 14 :
Jésus leur répondit: Prenez garde que personne ne vous séduise.
Car plusieurs viendront sous mon nom, disant : C’est moi qui suis le Christ. Et ils séduiront beaucoup de gens. Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres : gardez-vous d’être troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin. Une nation s’élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume, et il y aura, en divers lieux, des famines et des tremblements de terre. Tout cela ne sera que le commencement des douleurs.
Alors on vous livrera aux tourments, et l’on vous fera mourir; et vous serez haïs de toutes les nations, à cause de mon nom. Alors aussi plusieurs succomberont, et ils se trahiront, se haïront les uns les autres. Plusieurs faux prophètes s’élèveront, et ils séduiront beaucoup de gens. Et, parce que l’iniquité se sera accrue, la charité du plus grand nombre se refroidira. Mais celui qui persévérera jusqu’à la fin sera sauvé. Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin.
Mais nous, enfants de Dieu, comment réagir ? Il faut de toute façon que ces choses là arrivent afin que le règne de Dieu se manifeste.
Cependant, notre joie en Christ doit-elle être coupée, effacée ?
Devons-nous nous inquiéter des événements actuels, les condamner ou, à l’inverse les comprendre ?
Proverbe 22 – 8
«Qui sème l’injustice moissonnera le malheur»
Psaume 11 – 7
«Car l’Éternel juste aime la justice; sa face regarde l’homme droit».
Que chacun se fasse son opinion à la lumière de la Parole.
Mais nous restons dans la quiétude, dans la paix, sachant que toute chose concourt au bien de ceux qui aiment Dieu.
Autrement dit soyons dans le contentement de ce que Dieu nous donne, ce qui n’a rien à voir avec la condamnation de l’injustice qui est et demeure un des fondements de l’évangile…de paix.
La violence gratuite, organisée est toujours condamnable, de quelque côté que se soit, à la lumière de l’évangile et, au-delà par tout homme ou toute femme se réclamant de Dieu.
La tendance actuelle n’est plus dans l’expression d’un bonheur simple, d’une joie mesurée, d’une solidarité autour de chez soi. A force de parler des difficultés, les gens adoptent une position de repli. Comme une protection, ils optent pour l’individualisme.
Tous les facteurs exogènes qui affectent, contraignent, ou déstabilisent notre liberté personnelle ont des conséquences directes.
La France fait partie des grands consommateurs de tranquillisants. Pourtant, nous vivons dans un beau pays. Alors pourquoi ne savons-nous pas gérer intelligemment nos relations humaines et notre environnement ?
Les notions de profits, de pouvoirs, de dominations, de croissances effrénées ont entraîné une tension grandissante dans les relations personnelles. Devant les menaces de pénurie de matières premières, on prend maintenant conscience des échéances climatiques dramatiques qui vont percuter nos enfants et petits-enfants.
Loin de présenter un scénario-catastrophe qui ne ferait qu’amplifier le sentiment sous-jacent de culpabilité, émettons l’idée d’une vision positive au regard du message biblique.
Bien que le Seigneur lui-même ait prédit une dégradation des conditions de vie dans les derniers jours de l’humanité (cf. Matthieu 24, Luc 11), les chrétiens devraient préconiser un message centré sur le bien-être. Mais, est-ce réalisable ?
Pour autant, notre responsabilité s’exerce ici et maintenant, là où nous sommes. Le chrétien est invité à assumer sa position de citoyen de la terre dans le respect de la nature et des hommes, en ayant foi dans les promesses de Dieu.
Pour vivre heureux, ne vivons pas cachés, et ne nous laissons pas porter par ce vent de morosité, voire de panique, qui est appelé à souffler de plus en plus fort.
Comment ? En choisissant la rupture avec l’état d’esprit qui mène ce monde.
Comment ? En cultivant concrètement et tout simplement le contentement.
Cela vous fait sourire ! J’entends vos remarques et j’imagine vos petits sourires … Et pourtant, essayons de voir les choses positivement.
Le contentement, plus personne n’en parle !
Savons-nous apprécier ce que le Seigneur nous offre ?
Combien de fois avons-nous critiqué un tel ou un tel, parlé mal d’un frère, d’une sœur, combien de fois avons-nous essayé de comprendre l’autre sans le juger, combien de fois ma manière de voir, d’agir, de penser a été dans ce que le Seigneur attendait de moi ?
Combien de fois ma langue a distillé son venin au lieu de paroles d’encouragement, combien de fois j’ai encouragé celui ou celle qui œuvre dans l’ombre pour le règne de Dieu, combien de fois j’ai mesuré la responsabilité et pris conscience du travail effectué par mon responsable d’église, combien de fois j’ai prié pour lui, pour le frère avec qui j’ai peut-être un peu plus de mal ?
Combien de fois je me suis remis en question, combien de fois j’ai accepté d’avoir tort, combien de fois je me suis fais tout à tous afin d’en gagner un maximum, combien de fois j’ai eu le courage de reconnaître mes torts et d’en demander pardon, combien de fois je n’ai pas eu honte de demander pardon à un plus petit que moi ou à celui dont je savais que par ma langue j’avais blessé ?
Frères et sœurs, ne vous y trompez pas,
Ecclésiaste 12 – versets 13 et 14 déclare :
«Écoutons la fin du discours : Crains Dieu et observe ses commandements. C’est là ce que doit faire tout homme. Car Dieu amènera toute œuvre en jugement, au sujet de tout ce qui est caché, soit bien, soit mal».
Jérémie 32 – 19 :
«Tu regardes avec attention ce que font les hommes et tu traites alors chacun selon sa conduite, selon le résultat de ses actions».
Et ce ne seront pas nos œuvres qui nous sauverons mais l’amour et le pardon que nous aurons été capables de manifester.
Revenons au contentement.
Mais qu’est-ce qu’au juste, le contentement ?
1) L’action qui prend en compte le nécessaire, c’est-à-dire uniquement ce qui suffit. Par extension, c’est se suffire à soi-même… Se contenter de ce que l’on possède et qui correspond à un besoin. C’est ce qui est adapté et proportionné à l’indispensable.
2) L’action qui modère ses désirs. Le contrôle de soi-même.
Les politiques commencent à nous dire qu’il faut penser différemment et revoir nos fonctionnements. Alors pourquoi ne pas écouter les auteurs inspirés de la Bible qui nous ont présenté une philosophie de vie chrétienne ?
Que dit l’apôtre Paul :
«J’ai appris à me contenter de l’état où je me trouve. Je sais vivre humblement comme je sais vivre dans l’abondance. En tout et partout, j’ai appris à être rassasié et à avoir faim, à être dans l’abondance et à être dans le manque. Je peux tout en celui qui me rend puissant.».
Philippiens 4 : 11 – 13.
Pour le chrétien, l’état d’esprit qui devrait le conduire au quotidien, fait appel à ces 2 notions d’apprentissage de vie pratique :
Avoir, à la fois le sens de sa responsabilité pour s’assumer dans l’autonomie, et
Gérer ses désirs pour tendre à un équilibre de vie dans tous les domaines.
Comme il est difficile de vivre dans cette harmonie du corps et de l’esprit, l’aide de Dieu pour le croyant demeure une aide appréciable. C’est peut-être pour cette raison que Paul associe la foi et le contentement, dans le texte cité dans
1 Timothée 6 – 6 à 10 :
«C’est, en effet, une grande source de gain que la piété avec le contentement ; car nous n’avons rien apporté dans le monde, et il est évident que nous n’en pouvons rien emporter ; si donc nous avons la nourriture et le vêtement, cela nous suffira. Mais ceux qui veulent s’enrichir tombent dans la tentation, dans le piège, et dans beaucoup de désirs insensés et pernicieux qui plongent les hommes dans la ruine et la perdition. Car l’amour de l’argent est une racine de tous les maux ; et quelques-uns, en étant possédés, se sont égarés loin de la foi, et se sont jetés eux-mêmes dans bien des tourments».
D’un côté le sens de la responsabilité conduit à assumer un travail ou une activité, et de l’autre à connaître ses limites et à intégrer la confiance en Dieu dans toutes les circonstances.
Il nous faut changer de mode de vie. C’est précisément ce que nous dit la Bible…
Le message du Christ va dans le même sens sur bien des sujets :
Par exemple sur le nécessaire vital. On nous a fait croire que nous avions besoin de quantité de choses pour vivre, alors qu’elles apparaissent maintenant, comme étant très secondaires, voire superflues.
En actualisant ce message, nous pourrions dire :
Pour bien vivre, il nous faut être en rupture avec ce système de surconsommation. Il faut dénoncer le mélange subtil du superflu et du nécessaire. Le bon sens devrait prévaloir.
Tôt ou tard, les humains devront réapprendre à vivre simplement !
Tôt ou tard, le monde occidental devra revenir aux anciens fondamentaux sur la qualité de la vie.
Réapprendre à se satisfaire du nécessaire, c’est aussi affirmer sa solidarité avec ceux qui luttent pour subsister, c’est renoncer à des privilèges qui donnent l’illusion d’un mieux-être, c’est respecter les lois de la nature en ne forçant pas les capacités de production, c’est mettre un terme aux spéculations de toutes natures, et en fin de compte, c’est être davantage en harmonie avec soi-même et les autres.
Oui ! Il nous faut entrer en rupture avec cet état d’esprit qui donne plus d’importance au superflu qu’au nécessaire, et qui crée de puissantes convoitises pour tous ces pays d’Afrique. Pourtant, la sagesse de la vie n’est pas toujours du côté que l’on croit.
Pourquoi est-il urgent d’entrer en rupture avec nos modes de vie ?
Pour au moins 2 bonnes raisons :
– a) Parce que notre civilisation occidentale a versé plus dans le superflu que dans
l’indispensable et le nécessaire.
– b) Parce que l’esprit de modération – sagesse populaire – a laissé place à un besoin effréné de consommation et de profit. On nous conditionne à vivre au-dessus de nos moyens pour une illusoire nécessité économique.
Le corollaire de tout cela est la montée en puissance d’un mal fort ancien qui se nomme : l’inquiétude qui est souvent amplement justifiée.
Côté climat ce n’est pas mieux !
La fonte de l’Arctique n’a jamais été aussi impressionnante ! Tout semble s’accélérer. On nous explique qu’il s’agit de phénomènes de démultiplications des dérèglements de la planète…
Comment voulez-vous que les gens ne soient pas inquiets et ne vivent pas de plus en plus mal !
Et, si de plus, on entretient une culpabilisation collective, l’avenir paraît bien bouché.
Alors comment réagir positivement et ne pas se laisser envahir ou submerger par toutes ces mauvaises nouvelles ?
La Bible apporte une contribution édifiante et une philosophie de vie positive.
Elle nous invite à être en rupture avec l’esprit qui mène ce monde :
«N’aimez point le monde, ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu’un aime le monde, l’amour du Père n’est point en lui ; car tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, et l’orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais vient du monde. Et le monde passe, et sa convoitise aussi ; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement.»
1 Jean 2:15-17
Plus que jamais, le message chrétien doit être réaffirmé. Il contient les vraies réponses aux problèmes des humains de cette belle planète bleue.
Le contenu de ce message d’espoir pour l’humanité est loin d’être dénué de fondements intéressants, car il contient des valeurs indispensables pour notre temps.
Citons la confiance en soi, en l’autre, en Dieu ; la responsabilité dans ses choix ; le respect de l’autre dans ses différences, la solidarité dans le bien, etc…
Ce ne sont pas des mots plaqués. Comme Paul, nous pouvons dire que nous avons appris et que nous continuons à apprendre au travers de toutes les circonstances de la vie.
Assurément, le contentement est une valeur sûre, pas du tout cotée en bourse, et pourtant, elle fait partie des valeurs les plus fiables, les plus constantes, les plus équilibrantes.
Le contentement adoucit l’inquiétude et renforce la confiance en Dieu et en soi. Il est révélateur d’une bonne connaissance de soi, de ses besoins et de ses limites.
Voulons-nous tendre à une meilleure qualité de vie ? Alors cultivons la vertu du contentement avec application et persévérance.
L’inquiétude, ce mal-être permanent s’estompera peu à peu pour laisser place à la confiance en soi, et en Dieu.
«Ne vous inquiétez donc pas du lendemain ; car le lendemain aura soin de lui-même. A chaque jour suffit sa peine».
Matthieu 6 – 34.
«Déchargez-vous sur Dieu de toutes vos inquiétudes, car il prend soin de vous»
1 Pierre 5 : 7
«Ne vous inquiétez de rien ; mais, en tout, par la prière et la supplication, avec des actions de grâces, faites connaître à Dieu vos demandes. Et la paix de Dieu, qui surpasse toute pensée, gardera votre cœur et votre intelligence en Jésus-Christ».
Philippiens 4 : 6.
Face au scepticisme ambiant, au catastrophisme annoncé, une bonne nouvelle peut retentir sur la terre.
Assurément, nous avons à réapprendre : l’apôtre Paul déclare
« ce que vous avez appris, reçu, entendu de moi, observé en moi, tout cela, mettez-le en pratique. Et le Dieu de la paix sera avec vous»
Philippiens 4 : 9
Changer notre mode vie devient donc une nécessité impérieuse. Dans ce contexte ambiant, loin de tout processus de culpabilisation, le message du Christ et des apôtres propose une alternative constructive :
L’apprentissage de l’attitude de contentement : elle nous conduit à nous concentrer sur 2 domaines d’expérience pratique :
– Définir ce qui est nécessaire à notre bon développement physique, mental et spirituel et s’en tenir à ce qui nous suffit.
– Modérer ses désirs en ne succombant pas aux sirènes de la publicité et à tout système de consommation compulsive.
Ce travail sur soi ne sera pas facile, car notre schéma de vie à l’égard des biens de consommation a généré dans notre psychisme des habitudes. Pour corriger et inverser la tendance, l’aide de Dieu restera pour les croyants un atout appréciable. Vivre mieux, c’est vivre simplement.
Cette espérance, il faut la partager.
«Demeure tranquille, appuyé sur l’Éternel, et attends-toi à lui.»
Psaume 37 :7
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